Le ciel, qui continue d’abattre sa pluie et ses nuages oppressants, ne m’empêche pas de boucler la première grande étape de mon voyage à Tokyo. Ce n’est pas tout à fait le dernier jour dans la capitale nippone puisque j’y reviendrai le dernier jour pour profiter une dernière fois avant de reprendre l’avion.
Aujourd’hui, c’est un jour dont la date est un peu spéciale (10.10.10). À 10h10 je serai dans un temple qui abrite l’une des légendes de l’imaginaire japonais censée porter bonheur. J’y retrouverai un ami avec qui nous nous rendrons ensuite dans le quartier huppé de Harajuku avant d’explorer un peu la partie est de Ikebukuro. Enfin, je ne peux pas parler de cette dernière journée sur Tokyo sans une soirée mémorable qui m’a permis d’expérimenter deux choses nippones ni mauvaises. 🙂
Étiquette : Tokyo Sky Tree
Après la Tokyo Tower, la Tokyo Sky Tree sera la nouvelle tour fétiche de la capitale japonaise. Elle sera également la construction la plus haute du pays.
6 octobre : De la Sumida à l’izakaya
Journée coup de ♥ !
Réveil matin 7h00, assez violent je sens que je vais manquer de sommeil pendant trois semaines mais c’est voulu. Je me rends compte que la température de la chambre est de 25°C… Dehors, il fait clair et la vue donne sur l’immeuble voisin et la rue. Un autre immeuble est en construction entre deux. Le petit-déjeuner est compris dans mes nuits à l’hôtel. C’est un petit-déjeuner japonais : onigiri (お握り), tsukemono (漬物) et de la soupe. Plutôt salé et consistant comme repas à cette heure-là. Je prends quand même un café pour faire passer le tout. Des journaux peuvent être emportés librement : le Yomiuri Shimbun (読売新聞) et le Asahi Shimbun (朝日新聞). Il s’agit de deux quotidiens tirés à des millions d’exemplaires. Les Japonais lisent beaucoup plus le journal que les Français. Deux ordinateurs portables sont à disposition avec accès illimité à Internet. Je m’y connecte rapidement pour donner des nouvelles sur les réseaux sociaux. J’y rencontre un professeur de langues scandinaves de l’Université de l’Indiana. C’est l’occasion de me rendre compte que mon accent anglais n’est pas aussi bon que je le pensais.
Continuer la lecture de 6 octobre : De la Sumida à l’izakaya