Bilan du voyage au Japon – Moyens de locomotion

C’est parti pour la suite du bilan de mon voyage au Japon ! Après avoir rappelé les préfectures que j’ai pu visiter ou traverser, je reviendrai aujourd’hui sur un autre aspect d’un voyage : les moyens de transport. J’ai eu la chance d’en emprunter de nombreux et je souhaiterais partager avec vous quelques conseils notamment sur le budget pour se déplacer au Japon en tant que touriste. Le temps passé dans les transports lors d’un voyage conditionne le programme d’une journée de voyage mais il peut également être intéressant de découvrir ces derniers, surtout au Japon !

J’ai eu la chance d’utiliser pas moins de douze moyens de locomotion en comptant la marche lors de mes trois semaines au Japon ! J’ai parcouru près de 20000 kilomètres en avion. Au Japon, c’est en train que j’ai parcouru la plus grande distance mais c’est bien mes jambes que j’ai utilisé le plus pendant trois semaines ! Il est possible de classer ces transports dans différentes catégories : dans les airs, sur la mer et sur la terre. Commençons par celui qui m’a amené au pays du soleil levant.

L'avion du retour vers la France

Prendre l’avion pour le Japon

Budget à prévoir : de 700 à 1200 € pour un aller-retour Paris-Tokyo.

Ce moyen de transport c’est bien sûr l’avion même si il est possible d’aller au Japon par d’autres moyens : le transsibérien ou encore le bateau même si il faudra compter plusieurs jours voire plusieurs semaines dans ces cas-là ! Pour ma part c’est la première fois que je prenais l’avion ce 4 octobre 2011 pour mon départ au Japon.

C’est l’agence de voyages Destination Japon, spécialisée dans le Japon comme son nom l’indique, qui m’a aidé à préparer mon voyage. J’ai opté pour un circuit individuel avec vol aller retour Paris-Tokyo/Tokyo-Paris. Je devais revenir par un vol Osaka-Paris (Osaka-Tokyo-Paris) à la base, mais j’ai préféré revenir à Tokyo pour profiter une dernière fois de la capitale et surtout pour éviter de perdre des bagages et de paniquer… Il existe trois vols directs quotidiens de Paris à Tokyo depuis l’aéroport de Paris Roissy Charles de Gaulle. D’autres vols moins onéreux existent avec escale mais durent plus longtemps, plus que les 12h30 que j’ai patiemment savourées !

J’ai eu la chance d’être sur deux vols de la compagnie ANA dont l’amabilité du staff et la qualité du service sont sans faille ! Le prix d’un aller retour vers le Japon peut fortement varier selon la compagnie aérienne et la période. Les prix d’Air France semblent être assez élevés alors que j’ai souvent vu des aller-retour sur la compagnie ANA pour 700 € ! Je vous invite à vous faire une idée vous même sur ces prix et à déterminer quels choix vous satisferont. Bien sûr, un aller-retour en pleine saison en classe affaire ne coûtera pas 1200 € 😉 L’accueil ne sera pas non plus le même. Pour l’anecdote, je m’étais trompé de place à l’aller et je m’étais retrouvé à une place business. Tout de suite, une hôtesse de l’air m’a accueilli en me prenant pour un roi ou… o-kyaku-sama (お客様).

Bateau pirate sur le lac Ashinoko à Hakone

Naviguer sur les eaux japonaises

Après les airs, les mers ! Comment voyager au Japon sans naviguer au moins une fois sur ses mers, rivières ou lacs ? Le budget à prévoir est cette fois-ci facultatif puisque contrairement à l’avion vous n’êtes pas obligés de l’emprunter. C’est selon vos envies. Revenons sur les trois fois où j’ai été amené à voguer sur les eaux japonaises. À chaque fois des traversées de courte durée très plaisantes.

Le premier jour complet que j’ai passé à Tokyo, j’ai eu la chance de remonter la rivière Sumida en bateau mouche. Différents types de bateaux existent. À cette heure-là, vers 11h, j’ai eu un bateau assez classique qui a fait un tour du côté d’Odaiba puis est remonté jusqu’à Asakusa près de la Tokyo Sky Tree. La traversée dure 45 minutes et il faut compter à peu près 720 yens. Des départs ont lieu toutes les demi-heures ou heures. Voir les prix et horaires détaillés du Suijô Bus.

Un autre moyen de prendre la mer au Japon est d’emprunter le bateau pirate de Hakone près de l’ancienne route du Tokaidô. Encore une fois, différents bateaux font l’aller retour sur le lac Ashinoko entre Tôgendai (桃源台) au nord et Hakone-machi (箱根町) au sud près de l’ancienne route du Tokaidô. La vue depuis le bateau est censée être magnifique mais je n’ai vu que du brouillard. Normalement vous pouvez avoir une vue magnifique sur le mont Fuji. Le sanctuaire de Hakone et son torii sont également visibles depuis le pont.
Vous pouvez consulter les horaires en japonais sur le site de l’office du tourisme d’Hakone. La traversée dure 40 minutes et l’aller-retour seul coûte cher, près de 3980 yens. Vous pouvez acheter le free pass pour la journée pour environ 5000 yens et emprunter tous les transports possibles du coin.

Enfin, j’ai pris une dernière fois le bateau ou plus précisément le ferry pour rejoindre l’île de Miyajima. Il existe deux compagnies qui assurent le transport entre la côte de la préfecture d’Hiroshima et l’île dont la compagnie JR. Si vous disposez du Japan Rail Pass, sur lequel je reviendrai après, vous pouvez monter sans acheter de ticket pour traverser. Un aller coûte 170 yens. Encore une fois, la vue sur l’île et son sanctuaire est magnifique depuis le pont du ferry. J’ai traversé de nuit pour m’y rendre mais le lendemain matin j’ai pu profiter du spectacle.

Shinkansen à Utsunomiya

Se déplacer en train au Japon, une quasi-obligation et un plaisir

Budget à prévoir : de ~330 à ~690 € pour une à trois semaines de Japan Rail Pass et ~20 € pour créditer une carte sans contact SUICA du même prix (2500 yens) + un budget variable chaque jour selon votre programme !

Oui, quasiment une obligation pour voyager « à moindre frais » à moins d’avoir du temps (plus de trois semaines) et de l’argent (pour louer une voiture par exemple). Et puis, voyager au Japon en train c’est vraiment le pied et c’est un monde à part entière à découvrir. Des passionnés de train passent même leurs journées à photographier les trains japonais au point que cela devienne leur métier. Par contre, j’ai voyagé avec plaisir dans des trains pas si bondés que ça et des gares dans lesquelles il fût facile de se repérer !

J’ai pris différents types de trains au Japon. Le train fût le Narita Express qui fait la navette entre l’aéroport international de Narita et Tokyo en 1h30. J’ai également pris une bonne demi-douzaine de fois le train à grande vitesse japonais, le shinkansen (新幹線). Ce train est très pratique pour parcourir les grandes distances sur le territoire japonais. Enfin, j’ai bien sûr emprunté plusieurs fois le métro à Tokyo et Osaka. Le métro japonais ressemble au parisien. Ce n’est pas un automatique sans chauffeur comme on peut en avoir à Lille. Il s’agit réellement d’un train digne de ce nom de par sa taille. J’ai aussi emprunté des trains express autre part dans le Japon, comme par exemple celui qui relie Odawara à Hakone ou celui vers le mont Kôya.

Guichet de retrait du Japan Rail Pass

Toujours est-il que pour votre voyage il est indispensable de prévoir l’achat du Japan Rail Pass qui permet de voyager à volonté sur les lignes de la compagnie Japan Rail pendant une, deux ou trois semaines. Seuls les shinkansen nozomi ne sont pas compris dans l’offre. Attention donc, lors des trajets entre Tokyo et Kyoto ou Kyoto et Hiroshima. Les prix varient selon que vous voyagez en seconde ou première classe appelée green car au Japon. Le prix est bien sûr différent pour les enfants. Pour ma part, j’ai opté pour un Japan Rail Pass de 21 jours. Vous pouvez constater les tarifs du Japan Rail Pass par vous même. En principe, si vous restez plus longtemps vous prendrez plus de fois le shinkansen. Le prix d’un voyage en shinkansen étant élevé le passe est rentable très rapidement. À titre d’exemple, un aller retour Tokyo-Kyoto peut coûter 250 € et c’est à peu près le même prix pour un aller retour Kyoto-Hiroshima. Sachant qu’un passe de 21 jours coûte environ 450 € c’est très avantageux ! Ce passe n’est valable que pour les touristes étrangers. Il vous suffit de passer sur le côté des portiques de contrôle dans les gares et de montrer votre passe au contrôleur. Enfin, sachez qu’il existe également des passes du même type plus localisés : Hokkaidô dans le nord du Japon, Kyûshû dans le sud… Une fois au Japon, il faut que vous échangiez votre bon contre le passe en question à l’aéroport (voir photo ci-dessus) ou dans l’une des gares partenaires. Profitez-en également pour réserver vos trajets longue distance au cas où surtout si vous avez de l’attente pour le train à l’aéroport ! Profitez-en pour parler japonais, en plus ce service est gratuit 🙂

L’autre outil indispensable pour voyager au Japon et notamment dans la région de Tokyo et du Kantô est la carte SUICA. Cette carte rechargeable est pré-créditée de 2500 yens à l’achat et permet de se déplacer notamment en métro dans Tokyo. Elle peut être utilisée dans d’autres moyens de transport tous réseaux confondus. J’ai pu prendre le bus autour du mont Fuji et à Nikkô à 150 km au nord de Tokyo avec cette carte. Elle est très pratique car elle vous évite de perdre du temps à acheter un ticket. Vous ne perdez du temps qu’une fois en la créditant. Vous pouvez même payer vos achats aux supérettes kombini. J’ai pu réserver de cette manière ma place pour un match de foot le dernier jour du voyage. Il existe d’autres cartes de paiement sans contact comme la PASMO ou la carte TASPO qui permet d’acheter des clopes aux distributeurs prévus à cet effet. 26 millions de japonais possèdent la TASPO ! Cette carte permet également de certifier que son possesseur est majeur (20 ans au Japon).

Le rétrobus près du mont Fuji

Prendre la route par différents moyens

Budget à prévoir : ~17 € pour un passe de deux jours pour voyager à volonté en bus à Kyoto.

Le bus est à la campagne ce qu’est le métro à Tokyo : le meilleur moyen de transport. J’ai pu en faire l’expérience à Nikkô, Hakone et Kawaguchiko dans un premier temps vers la campagne japonaise puis au mont Kôya et un peu à Nara. Notez qu’il existe, autour des lacs Kawaguchi-ko et Sai-ko près du mont Fuji, un rétrobus qui rappelle les années 50-60 et peut accueillir à peu près 10-12 personnes. J’ai pu emprunter plusieurs fois ce petit bus ma foi bien sympathique. Heureusement en pleine semaine et en période relativement creuse et donc peu les rétrobus étaient peu chargés.

Lors de mon voyage, le bus fût également indispensable pendant mes journées à Kyoto où le bus est omniprésent ! Il existe de nombreuses lignes qui mènent un peu partout dans l’ancienne capitale impériale : à Arashiyama, à Higashiyama, dans le centre… Encore une fois, il est possible d’acheter un passe de un ou deux jours très pratique qui permet d’éviter d’acheter un ticket à chaque fois et de voyager à volonté sur Kyoto. Ce passe coûte 1200 yens pour une journée et 2000 yens pour les deux jours. Il faut le composter la première fois pour marquer le jour de fin de validité (au lendemain si deux jours). Il suffit ensuite de le montrer en sortant du bus au conducteur. Notez qu’il faut monter à l’arrière dans les bus japonais. Normalement un ticket de bus pour un aller simple n’importe où coûte 120 yens soit à peu près 1 euro. Il faudra tout de même compter un supplément pour aller dans des zones un peu plus éloignées. Il est possible d’emprunter aussi le métro grâce à ce passe. Vous pouvez l’acheter sur Internet ou bien près des arrêts de bus en face de la gare de Kyoto sous le bâtiment Aqua Fantasy !

Lors de ma première journée complète à Tokyo, j’ai rencontré le soir une amie près du musée de Tokyo. Nous avons marché longtemps puis nous avons pris le taxi vers la station Ueno pour manger dans un izakaya avec son mari. Ce fût donc un autre transport en commun très utilisé au Japon que j’ai pu testé. Mon amie a pris les frais à sa charge. Les taxis japonais sont très facilement reconnaissables. Attention : le prix peut vite grimper ! Et puis notez que l’entrée se fait par la porte arrière gauche… et est automatique. En effet, le conducteur ouvre et ferme cette porte quand vous entrez et sortez. J’ai pris une deuxième fois le taxi à Nara pour aller du site de l’ancien palais impérial au temple Tôdai-ji situé beaucoup plus loin. Le bus était déjà complet et c’était le dernier ! Enfin, j’ai pris une troisième et dernière fois le taxi du château à la gare d’Hiroshima pour éviter de perdre du temps et arriver à temps pour dîner au ryokan de Miyajima. J’avais prévu également de prendre le taxi en plan de secours si je ratais mon train pour repartir le dernier jour vers l’aéroport.

Téléphérique du mont Kachi près du lac Kawaguchi-ko

Il reste des moyens de locomotion que je n’ai pas utilisé au Japon comme par exemple conduire une voiture ou monter dans un camion. À propos, j’aimerais bien essayer de faire du stop pour voir un jour dans la campagne japonaise ! Alors que le vélo est très utilisé au Japon, je n’ai pas pu essayé ce mode de transport non plus. Encore moins la moto, puisque je n’en fais pas ! En revanche, j’ai pu monter dans des téléphériques et funiculaires notamment à Hakone et au mont Kôya : des moyens de locomotion moins conventionnels si il en est !

17 réflexions au sujet de « Bilan du voyage au Japon – Moyens de locomotion »

  1. Plaisant à lire! ça me remémore tellement de choses les moyens de transports au japon.
    Le train est encore plus agréable à prendre l’été, c’est un peu la pause « fraicheur » pendant les excursions après avoir marché des kilomètres, rien de tel que de s’assoir sur une banquette et profiter de la clim 🙂
    Si je pouvais conduire au japon, je pense que j’apprécierai beaucoup car ça roule cool, la boite automatique rend la balade d’une souplesse… et les routes sont parfaites.
    J’ai pris le Jet-ski à Zushi et le wakeboard pendant mon séjour, ça compte ? ^^ .
    あ、懐かしい~

    1. Merci pour ton commentaire Max, ça fait plaisir ! C’est vrai que les transports sont une partie de plaisir au Japon, contrairement à la réputation que traînent nos trains en France… forcément pas de moyens = service moyen !
      C’est vrai que certains wagons sont climatisés, d’autres non. D’ailleurs, c’est précisé (en japonais et/ou en couleur) à l’entrée des rames : ventilation moyenne ou forte. Il y en avait encore en octobre quand j’y suis allé, il faisait encore bien chaud !
      Oui oui tous les moyens comptent même les rollers, le skate ou la trottinette 😀 Zushi… t’as du en manger des vagues 😉

  2. Merci beaucoup pour l’article. Nous partons bientôt en famille et des commentaires et appréciation de vrais visiteurs sont bien meilleurs que des guides !
    Vivement la suite !

    1. Merci pour votre commentaire ! J’espère que le contenu de l’article en lui-même vous servira. Quelles régions/villes/endroits du Japon avez-vous prévu de visiter ?

      1. Bonsoir

        Tokyo
        Nagoya (pour le basho)
        Tsumago (pour la campagne)
        Nara
        Kyoto

        En un peu plus de 2 semaines
        C’est court, on ne fera pas tout mais tranquillement

        1. Bonsoir, vous partez donc en juillet ? Je ne connaissais ni le Nagoya Basho ni Tsumago ! Nara est un très bon choix, c’est une ville où il fait bon vivre 😀

        2. Profitez-en un maximum! Prévoyez un maximum de chose à l’avance pour ne pas perdre de temps.

          Pour vous dire, on avait même le plan des gares ou nous allions passer juste au cas ou… ( je sais c’est un peu extrême ).

          1. Je vais partir avec nos iPhones :

            Pour éviter le roaming j’utilise CytiMaps 2Go qui me permet de prédownloader les cartes depuis le wifi à la maison
            J’ai eu aussi l’occasion de télécharger mTrip – Guide de Tokyo

            En tout cas il va faire chaud avec les restricitions sur la clim !
            Enfin je ne serais pas en costard comme les salaryman : les pauvres !

            Christophe

            1. La plupart des salariés japonais devraient être invités à prendre deux semaines de congés forcés cet été pour faire des économies d’énergie !

              C’est vrai que c’est le pied d’avoir des cartes sur smartphone pour voyager. J’avais tenté d’enregistrer toutes les cartes du Japon hors-ligne jusqu’à un zoom pas très grand et ça m’a bouffé plusieurs Go sur la SD…

  3. Mais le mieux ça reste le TRAIN pas vrai François ? 😀

    En lisant ton article, je me suis rendue compte que j’avais effectivement pris un bateau pirate lors de mon tout premier voyage. Mais je ne savais pas ce que c’était, ni où c’était. Mais maintenant grâce à toi je sais ! Moi aussi j’ai eu le brouillard, donc impossible de voir le mont Fuji. Il me semble que c’est ce jour-là que je suis allée au « Fuji-Q Highland » où j’ai vu les pires montagnes russes de ma vie 😛 (je voyais les gens en sortir et vomir, sympa !).

    1. Complètement ! Quelle ambiance ! Et surtout ces jingles <3

      Par contre le bateau pirate de Hakone est de l’autre côté du côté où se trouve le Fuji-Q. On voit le parc depuis le train qui mène à Kawaguchi-ko !

  4. Bonjour,

    si c’est pas trop indiscret j’aimerais savoir combien t’as coûté ton voyage au Japon?
    J’essaie de planifier un voyage éventuel, mais j’avoue que je suis un peu découragée par les prix des logements, du billet d’avion, etc.

    Merci!

    1. Bonsoir Amélie,

      Pour répondre indirectement :
      – c’est possible de s’en tirer pour un aller/retour à 700 € sur une compagnie japonaise si tu t’y prends à l’avance
      – après pour le logement faut compter minimum 80 € par nuit je pense…
      – sans compter qu’il faut manger et payer les entrées des lieux où tu vas + les souvenirs

      C’est à dire que le voyage revient entre 2000 et 3000 € pour 15 jours à peu près ! Autant dire que la prochaine fois j’y réfléchirai à deux fois. C’est sûrement mieux de vivre le Japon autrement qu’en touriste…

      François

  5. Moi aussi j’avais pensé aller y vivre, mais je suis encore aux études alors je planifiais plutôt d’y aller 1 mois en attendant et surtout pour en apprendre un peu plus avant de penser sérieusement à y habiter. Donc, si je compte bien, pour 1 mois ça coûte plus ou moins 4000 à 6000 euros. De plus, je suis canadienne alors les vols coûtent plus chers et la conversion par rapport au euro n’est pas très avantageuse. Disons que j’y réfléchirai bien avant de partir pour seulement 1 mois…

    Merci beaucoup pour ta réponse!!

    1. Après si tu pars un mois complet et que tu penses seulement rester sur Tokyo ou un autre ville tu peux loger dans une guest house ça te reviendra beaucoup moins cher ! Et pour la nourriture c’est pareil pas besoin de dépenser énormément pour manger à ta faim je pense.

      Merci à toi de participer à cet article en commentant ! Content d’avoir une lectrice de plus du Canada. Tu es de quel coin ? Combien de temps ça prend en avion jusqu’au Japon pour toi ?

  6. Je suis de la région des Laurentides dans la province de Québec. D’ici au Japon c’est plus ou moins 15 heures, voire parfois 24 heures dépendant des escales!

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